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22 June, 2002
University of Calgary, Calgary
Hosted by the University of Calgary, the Guido Carli Association, the G8
Research Group and the Research Group on Global Financial Governance
with the support of the G8 Summit Policy Office of Canada's Department of
Foreign Affairs and International Trade.
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Nicholas Bayne, KCMG, London School of Economics and Political Science. "Le Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) et le Plan d'action pour l'Afrique du G8 : Un Plan Marshall pour l'Afrique?"
Le Plan Marshall mis en oeuvre en 1947 pour favoriser la relance économique de l'Europe après la destruction engendrée par la Seconde Guerre mondiale est un exemple exceptionnel de programme d'aide extérieure qui a produit des résultats durables et auto-entretenus. Robert Marjolin, un des pionniers européens du Plan, le qualifie du " plus éblouissant succès politique et économique de l'histoire du monde occidental depuis 1914* ". Le terme "Plan Marshall" est entré dans la langue pour désigner un programme ambitieux et généreux d'aide internationale pour les pays dans le besoin, et on entend de nombreuses demandes pour des " Plans Marshall " d'un type ou d'un autre.
Cependant, le succès durable du Plan Marshall original n'est pas uniquement le fait de la générosité américaine. Il découle également de la réaction des bénéficiaires européens. Ces derniers sont parvenus à transformer les attitudes politiques et les structures de l'autorité en Europe. Ces facteurs ont eu une incidence plus durable que les fonds du Plan Marshall et ont dépassé tout ce que le Général Marshall et ses conseillers avaient pu prévoir. Mais la plupart de ceux qui demandent des "Plans Marshall" contemporains semblent peu conscients de ces facteurs.
Le présent article soutient que pour la première fois depuis les années 40 il y a un mouvement pour créer les attitudes politiques et les structures de l'autorité qui se rapprochent du Plan Marshall original et qui renferment plusieurs de ses caractéristiques distinctives. Il s'agit de la combinaison du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) et du Plan d'action pour l'Afrique du G8, qui a été proposée au Sommet de Gênes en 2001 et qui doit être adoptée au Sommet de Kananaskis les 26 et 27 juin 2002. Jusqu'à ce que les résultats de Kananaskis soient confirmés, il est difficile de déterminer dans quelle mesure il est possible d'établir un parallèle avec le Plan Marshall de l'après-guerre. Nous en savons cependant déjà suffisamment pour faire une comparaison et une évaluation générales.
Cet article est divisé en trois parties principales. Premièrement, l'analyse des caractéristiques du Plan Marshall qui ont contribué à son exceptionnel succès. Deuxièmement, la comparaison de ces caractéristiques avec celles des propositions actuelles pour l'Afrique. Enfin, l'évaluation des principales différences entre l'Europe des années 40 et l'Afrique des années 2000, suivie d'une brève conclusion.
> > Article en anglais [PDF]
Stéphane Doumbé-Billé, l'Université Jean Moulin. "Le développement de l'afrique par le NOPADA : Un développement durable?."
L'écho sucité et rencontré, semble-t-il, par le NOPADA traduit d'abord une attente : celle d'un modèle de développement qui puisse enfin permettre au continent de sortir de l'état de sous-développement et de pauvreté quasi endémique qui le caractérise depuis trop longtemps.
La construction de ce modèle, notamment en reprenant le paradigme néo-libéral, suscite cependant de nouveaux enjeux liés aux limites que pourrait introduire la thématique du développement durable.
Le NOPADA peut-il dynamiser le développement de l'Afrique dans la perspective du développement durable ? C'est la question à la quelle tente de répondre la présente réflexion en montrant d'une part comment la promotion du secteur privé est devenue une donnée essentielle du processus du développement dans un "système international ouvert" et d'autre part dans quelle mesure le respect des différents "piliers" du développement durable peut encadrer étroitement ce processus, pour les générations présentes et futures.
Stéphane Doumbé-Billé, Jean Moulin University. "African development through the New Partnership for Africa's Development (NEPAD): synonymous with sustainable development?"
It seems that the first note struck and echoed by NEPAD is one of expectancy: the expectation of a development model that can at last enable the continent to emerge from the almost endemic underdevelopment and poverty in which it has languished for too long.
However, the construction of this model, and in particular its incorporation of the neo-liberal paradigm, raises new issues having to do with the limitations that a sustainable-development approach could impose.
Can NEPAD drive Africa's development forward in a context of sustainability? This contribution will attempt to answer that question by showing, first, how promotion of the private sector has become a given in the development process within what has been called an "open international system", and second, to what extent compliance with the various precepts of sustainable development can hamstring that process for present and future generations.
Takashi Kiuchi, Shinsei Bank. "Évaluation des réformes du premier ministre Koizumi et de leurs répercussions sur l'économie mondiale."
Un an s'est écoulé depuis la nomination de M. Junichiro Koizumi au poste de premier ministre après sa victoire surprise à l'élection à la présidence du Parti libéral démocrate (PLD) en avril 2001. D'entrée de jeu, il s'est décrit comme un réformateur sans peur cherchant à restructurer l'économie. Le grand public l'a applaudi lorsqu'il a allégué qu'afin de retrouver son dynamisme économique d'antan, le pays devait réduire l'importance du secteur public et réserver plus d'espace au secteur privé dans l'économie. Son taux d'appui sans précédent de plus de 80 % indiquait que le grand public partageait son point de vue et, surtout, qu'il tentait de croire que M. Koizumi était un homme capable d'aller de l'avant avec les réformes nécessaires, sans se préoccuper de l'opposition au sein de son propre parti.
Un plus tard, il est juste de dire qu'il a perdu la majeure partie, sinon la totalité, de son charisme. Son taux de popularité est descendu sous les 40 % dans le plus récent sondage d'opinion. Il est vrai que ce taux demeure quand même supérieur à celui de la plupart des infortunés cabinets qui l'ont précédé. Cependant, il est plutôt alarmant de constater que le taux de mécontentement envers son gouvernement dépasse 40 %. La déception et une certaine anxiété commencent à se répandre. Des critiques signalent qu'il ne répond pas aux espoirs fondés sur ses réformes structurelles. Il semble reculer petit à petit sur bien des plans devant la résistance obstinée des anciens politiciens et fonctionnaires qui tentent de maintenir le statu quo à tout prix. Le premier ministre lutte visiblement pour redonner de l'élan à son initiative de réforme.
Tournons-nous maintenant vers la politique internationale. Il est plutôt difficile, depuis le début, de situer la position du premier ministre dans ce domaine. Il est clair que M. Koizumi a été choisi pour diriger le pays sur les questions domestiques. Quoi qu'il en soit, la politique étrangère du pays semble quelque peu à la dérive. La ministre des Affaires étrangères non conformiste Mikiko Tanaka s'est engagée dans une querelle irréconciliable avec des diplomates de carrière. Dans la confusion qui a suivi, le premier ministre a demandé à Mme Tanaka de démissionner. La nouvelle ministre des Affaires étrangères Yoriko Kawaguchi est confrontée à une série de contretemps dans ses efforts pour restaurer la confiance en son ministère.
Le premier ministre a clairement indiqué son intention de se ranger du côté des Américains après les attaques terroristes du 11 septembre, puis lorsque les troupes américaines ont attaqué les Taliban en Afghanistan. Autrement, il est plutôt difficile d'identifier ses initiatives individuelles, surtout sur le plan de la politique économique internationale. Pendant ce temps, certaines tensions avec les pays voisins comme la Chine et la Corée du Sud s'éternisent.
En outre, plusieurs incidents indiquent que le Japon ne réussit pas à trouver la place qui lui revient dans le marché international des capitaux. Le ministre de l'Agence des services financiers, M. Hakuo Yanagisawa a déclaré que les principales banques respectaient les normes de fonds propres de la Banque des règlements internationaux lorsqu'il a publié les résultats des inspections spéciales sur les banques à la mi-avril. Toutefois, le scepticisme persiste à l'étranger. Le yen continue également d'être une cible de spéculation sur les devises. De plus, le ministre des Finances s'est engagé récemment dans une dispute inutile avec d'importantes agences internationales d'évaluation du crédit après le déclassement des obligations du gouvernement japonais.
Il convient de se poser quelques questions. Pourquoi le premier ministre a-t-il perdu sa crédibilité en tant que réformateur? Est-il toujours en mesure de réaliser ses promesses? Que devrait-il faire pour récupérer son leadership? A-t-il épuisé son capital politique? Si oui, que se passera-t-il? Y a-t-il des changements dans la nature des débats politiques relativement à la restructuration et à la stimulation de l'économie? Le pays est-il résigné à devoir se tirer d'affaire tant bien que mal pendant encore quelques années? Est-il possible de s'attendre à une initiative du Japon pour façonner l'ordre économique international lorsque les dirigeants semblent être dépassés par les problèmes internes?
Évidemment, il n'y a pas de réponses simples à ces questions. Dans le régime de cabinet parlementaire, un cabinet ne peut survivre à plus d'une faute grave. Il en va de même pour le premier ministre Koizumi. Il est vrai de dire que l'art de diriger un pays est l'art de gérer une suite infinie de crises. En outre, chaque question est source de controverse parmi les leaders d'opinion. Dans ce contexte, cet article tente de clarifier l'ampleur et la nature des questions menaçant les efforts du pays pour revitaliser son économie et pour apaiser les disputes politiques actuelles.
> > Article en anglais. [PDF]
Ivan Mbirimi, Secrétariat du Commonwealth. "Le rôle des organisations internationales dans le développement en Afrique."
À l'aube de ce nouveau millénaire, les défis que représente le développement en Afrique demeurent importants. Diverses contraintes économiques, sociales, politiques, environnementales et institutionnelles continuent de s'opposer aux efforts déployés en matière de développement par les pays africains et ceux qui les soutiennent. Pour comprendre pourquoi les progrès réalisés sont si limités, il faut examiner les actions et les motivations des principaux acteurs dans le domaine du développement en Afrique. Le comportement de trois d'entre eux donnent matière à réflexion. Les politiciens africains semblent souvent plus intéressés à s'accrocher au pouvoir qu'à favoriser le développement économique de leurs pays. Les organisations internationales ont bien du mal à concilier les intérêts et les attentes de leurs principaux membres avec ceux des pays africains. La société civile, tant en Afrique qu'à l'étranger, cherche davantage à faire porter les efforts de croissance économique sur les aspects plus généraux du développement comme le renforcement de l'autonomie et la lutte contre la pauvreté. Bien sûr, d'autres acteurs ont un rôle à jouer, y compris le grand public et divers groupes d'intérêts, et plus particulièrement les associations de gens d'affaires et les associations professionnelles. Toutefois, il ne fait aucun doute qu'en matière de développement, les institutions financières internationales (IFI) occupent le devant de la scène, suivies des gouvernements et de la société civile. L'attention étant maintenant centrée sur le Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD), on est en droit de se demander si chaque participant est prêt à proposer des solutions nouvelles et adaptées en vue de favoriser le développement en Afrique. Cet article examine d'abord les signes témoignant d'un changement d'attitude de la part des principaux acteurs, puis tente de définir les conditions préalables d'une stratégie de développement efficace. Il constate que, sans un engagement minimal de la part des principaux acteurs, il est peu probable que des progrès soient accomplis. Il est tout aussi important que les dirigeants africains établissent de façon précise le genre d'aide extérieure dont ils ont besoin en fonction d'une définition claire des objectifs nationaux et de la mobilisation générale des ressources et des capacités nationales. L'aide internationale offerte doit contribuer à favoriser le développement et l'utilisation des ressources humaines de l'Afrique et à affranchir les pays africains de la dépendance. En outre, les organisations internationales doivent tenir compte du phénomène de la mondialisation afin que les efforts d'intégration de l'Afrique ne soient pas entravés par des politiques protectionnistes en matière de commerce ou une dette importante au point d'être insoutenable. Le NEPAD semble s'attaquer à ces problèmes. L'article analyse donc, en conclusion, ses chances de réussite.
> > Article en anglais. [PDF]
Alan M. Rugman, Indiana University, et Alain Verbeke, University of Calgary.
Malgré l'ouverture d'une nouvelle ronde de négociations de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en novembre 2001, le pouvoir de cette institution baisse peu à peu. Depuis l'échec de Seattle en 1999 où il a été impossible d'amorcer une nouvelle ronde de négociations de l'OMC, la vague de multilatéralisme a fait place au régionalisme montant. Une des raisons présumées de cette situation est que diverses parties intéressées, y compris certaines organisations non gouvernementales anti-globalisation de la société civile, les " mobilisateurs ", ont réussi à créer une fausse image de l'OMC, la présentant comme l'instrument d'intérêts commerciaux et économiques limités.
Le point de vue des ONG, malheureusement, a remplacé la représentation plus correcte de l'OMC en tant que principal mécanisme de mise en application d'accords multilatéraux sur le commerce et les investissements, axés sur des considérations techniques et sur l'efficacité, plutôt que sur des aspirations politiques et des motifs liés à l'équité. On a même laissé entendre que la libéralisation du commerce et des investissements mise de l'avant au cours des 54 dernières années avait été renversée. Un Accord multilatéral sur l'investissement (AMI) devant fournir un traitement national pour les entreprises multinationales a effectivement été défait en 1998, peut-être en partie à cause de ces intervenants anti-globalisation, mais surtout à cause de l'affaiblissement de l'engagement des États-Unis à favoriser la libéralisation du commerce et de l'investissement à l'échelle internationale. Nous avons plutôt observé une résurgence des efforts du monde de la politique et des affaires pour renforcer davantage les blocs commerciaux régionaux de l'Amérique du Nord, de l'Europe et du Japon. Même dans cette nouvelle ère de libéralisation commerciale bloquée, les liens entre ces économies de la " triade " se sont renforcés à cause des investissements étrangers directs (IED) faits par les entreprises multinationales.
Dans ce contexte, il est important de transmettre un nouveau message à la société civile. L'effondrement de la libéralisation du commerce et de l'investissement international mène à des accords de second choix prenant la forme de politiques gouvernementales et de stratégies d'entreprises régionales axées sur la triade. Il est également crucial que les groupes intéressés, particulièrement les ONG " technologiques " modérées, comprennent que le discours anti-globalisation mène à des accords d'intégration régionale et bilatéraux, comme solution de rechange plus facilement réalisable, mais éventuellement moins efficace, à la mondialisation. Cela ne favorise pas les objectifs de la société civile, mais, d'un point de vue institutionnel comparatif, nuit plutôt à la perception de la société civile.
> > Article en anglais. [PDF]
George M. von Furstenberg, Fordham University, et Jianjun Wei, Indiana University. "La Chine au centre de l'union monétaire de l'Asie orientale."
Rèsumè
Il peut arriver que plusieurs monnaies circulent dans un même pays, mais il est rare que la sèparation entre des monnaies internes soit aussi importante qu'entre Hong Kong et la Chine continentale. Le prèsent article prèvoit l'èrosion de cette sèparation et èvalue l'èconomie des diffèrentes formes que pourrait prendre l'unification monètaire de la Chine. Il allègue que la rèalisation de cette unification sans avoir recours au contrôle des capitaux ou à l'expropriation est indispensable au dèveloppement d'une deuxième monnaie internationale d'importance en Asie orientale, rivalisant avec le yen. En attendant que le renminbi, prèfèrablement sous un autre nom, devienne une monnaie internationale au sein d'un système financier unifiè conforme aux normes actuelles de Hong Kong, aucun progrès ne peut être fait vers l'union monètaire règionale en Asie du Sud-Est. Le but de cette union interne est la libèration de l'Asie orientale de l'ètalon dollar.
Introduction
Dans un court article comme celui-ci, il est impossible de justifier toutes les prèmisses et tous les jugements à la base du propos. Il est toutefois important de les ènumèrer dès le dèbut afin d'aider à expliquer le contexte global entourant les points prècis examinès en dètail.
1. Nous acceptons les conclusions et les arguments de Rogoff (2001) qui indique que dans un avenir prèvisible, il ne serait pas souhaitable de chercher à crèer une monnaie mondiale unique et que du point de vue èconomique, il serait prèfèrable de conserver au moins, trois ou quatre sinon un nombre n de monnaies (flottantes internationales d'importance). Nous considèrons qu'une monnaie est-asiatique flottant par rapport au dollar amèricain et à l'euro sera èventuellement essentielle à cette règion dynamique qui subit une intègration interne grandissante.
2. Le yen ne peut pas servir de norme d'intègration monètaire pour l'Asie de l'Est continentale. Sauf quelques exceptions comme Singapour (voir Borensztein et coll., 2001, p. 4; Bird et Rajan, 2002, p. 26), cette règion considère le dollar amèricain et non le yen comme point d'ancrage externe commun. Ce point d'ancrage externe deviendra probablement insoutenable une fois que la convertibilitè du compte capital des principaux pays de la règion, particulièrement la Chine continentale, aura progressèe. Un point d'ancrage interne doit plutôt dècouler de l'unification monètaire de la Chine. Une quatrième monnaie internationale d'importance, en plus du dollar amèricain, de l'euro et du yen, devra donc se cristalliser en Asie de l'Est continentale avant que son indèpendance et sa libèration monètaire puissent progresser.
3. Comme en Europe, où le Royaume-Uni s'est tenu à distance de l'Union monètaire europèenne, le Japon ne participera pas à une union monètaire avec la Chine. Une telle union exigera l'unification monètaire d'un seul pays avant que l'accession unilatèrale ou la transformation multilatèrale puisse se produire. La monnaie chinoise, après l'unification monètaire, ne pourra pas continuer d'être à paritè fixe avec le dollar amèricain. Lorsqu'elle sera devenue une devise internationale importante rivalisant avec le yen, elle pourrait devenir un des deux piliers d'une union monètaire multilatèrale incluant la plupart des autres pays de l'Asie orientale. Cette union pourrait èventuellement inclure le Japon si l'intègration financière et èconomique de la Chine et du Japon, et la robustesse et l'efficacitè de leurs systèmes bancaires et financiers respectifs, continuent de progresser.
Cet article n'examinera que les modalitès qui pourraient mener à une monnaie chinoise internationale d'importance, initialement par l'ètablissement d'une union monètaire entre Hong Kong et la Chine continentale. Autrement dit, nous nous attarderons surtout au point 2 susmentionnè. Afin de mieux orienter le lecteur, la deuxième partie de l'article porte sur les faits saillants des processus d'unification monètaire dans les colonies amèricaines de l'Angleterre et de l'histoire italienne. À partir de ces faits historiques, la troisième partie de l'article tire des conclusions sur la meilleure façon de rèpondre aux pressions en matière de consolidation de la monnaie qui prennent naissance dans un pays comme la Chine. La quatrième partie analyse la mesure dans laquelle les diffèrents plans pour crèer une union monètaire chinoise appliquent ces leçons et promettent la crèation d'une monnaie internationale d'importance pour l'ensemble de la Chine qui flotterait par rapport au dollar amèricain. La cinquième partie prèsente la conclusion et rappelle le contexte global dans lequel ce dèveloppement
> > Article en anglais [PDF]
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